jeudi 20 juin 2019

Happy'taf

Merci à toi qui te reconnaîtra.


Bosser ou vivre est parfois un saut dans l’inconnu. Pour moi, ça l’est presque toujours. Rêver, se planter, rebondir, assumer, propager.

« Routiner » ou innover, ça fait bien longtemps que mes tripes, mon cœur et ma tête ont répondu à ma place. Et je sais n’attendre rien de personne. Des dizaines d’années de taf et de bénévolat m’ont appris la modestie et surtout l’humilité. Et oui. Je ne bouge pas pour des remerciements, mais je me bats pour essayer de faire avancer mes idées et surtout mes convictions.

Depuis plusieurs années, dans mon nouveau job, j’essaye de convaincre que les innovations, ce ne sont pas des grandes idées qui révolutionnent le monde, mais parfois et même très souvent des petites idées qui changent la vie de quelques uns. Des idées qui permettent à des anonymes d’oser et de se révéler.

Ce qui m’intéresse, ce sont toutes ces graines qui ne demandent qu’à germer, ces êtres humains qui ne demandent qu’à aider à faire avancer le Schmilblick, celui de leurs proches, de leur entreprise, de leur association, de leur ville. Désengagés ? Au contraire, ces graines ne demandent qu’à être semées et arrosées.

Comme le disait un sage, « la vérité n’est pas au bout du chemin ; la vérité est le chemin même. » Alors je trace ma route. Fort de mes convictions. Sans rien n’attendre en retour. Mais parfois, alors que tu ne t’y attends vraiment pas, tu captes un signal qui te confirme ce qui te donne envie de te lever le matin, de bosser la journée et un peu le soir, qui te conforte dans tes convictions.

Cette semaine, c’est un message privé que j’ai reçu d’un collègue que je ne connaissais pas un mois avant. Un message plein de force et d’étoiles et d’ondes très positives. Un message qui te rebooste encore un peu plus et qui te lève des doutes qui me traversent parfois l’esprit.

Et oui, ce message, que son auteur a décidé et pris le temps d’écrire en pesant chacun de ses mots, m’a fait un bien fou. Alors merci à toi qui te reconnaîtra.